Le psychologue Salah Bouabdallah, âgé de 55 ans, avait disparu le 21 décembre dernier, plongeant sa famille et son entourage dans l'inquiétude. Après un appel à témoins et une mobilisation publique, les événements ont pris une tournure inattendue. Ce dimanche, des membres des forces de l'ordre ont été aperçus au domicile de la famille à Nîmes, suite à des révélations choquantes.
Aveu inquiétant au sein de la famille
Selon plusieurs sources, un proche de Salah Bouabdallah, qui serait son fils, aurait confessé le meurtre de son père, affirmant qu'il aurait ensuite enterré le corps dans le jardin familial. Ce tournant dramatique a eu lieu peu après un rassemblement organisé par la famille devant Carré d’Art à Nîmes, dans l'espoir d'appeler à la solidarité et à la recherche du disparu. Les déclarations du fils ont été faites lors de sa παρουσιαν de ce week-end auprès des autorités, comme l'a rapporté Le Parisien.
Une enquête en pleine activité
Bien que des fouilles aient été entreprises dans le jardin, aucun corps n’a pour l’instant été retrouvé, ce qui ne fait qu’approfondir le mystère entourant cette affaire tragique. Pour l’heure, les enquêteurs de la police suivent plusieurs pistes, tandis que la famille, en état de choc, continue de se battre pour obtenir des réponses.
Réactions et implications
Les spécialistes s’inquiètent des conséquences psychologiques que cette tragédie pourrait engendrer au sein de la famille. Comme l’a fait remarquer un psychologue local dans une interview, la dynamique familiale peut être bouleversée par une telle tragédie, où des secrets peuvent être dissimulés sous des couches de loyauté et de douleur.
Alors que l’enquête se poursuit, la communauté de Nîmes reste collectivement meurtrie par ces événements inexpliqués. Les amis et collègues de Salah Bouabdallah, connu pour son engagement dans le domaine de la santé mentale, espèrent fervemment que la vérité sera bientôt révélée, et que justice sera rendue.







