Le 21 décembre dernier, Salah Bouabdallah, psychologue de 55 ans, avait disparu dans des circonstances énigmatiques à Nîmes, plongeant sa famille et ses proches dans l'inquiétude. Cinq jours plus tard, un tournant inattendu s'est produit. Son fils, un jeune homme de 27 ans, s'est présenté au commissariat de Nîmes pour avouer avoir tué son père. Ce confession, relayée par la procureure de Nîmes, Cécile Gensac, a révélé que le fils aurait « dissimulé la dépouille » de sa victime.
Selon des informations rapportées par France 3 Occitanie, le téléphone de Salah avait été retrouvé dans un caniveau, ce qui a soulevé les premières interrogations. À noter que le psychologue était fiché S, en raison de ses positions controversées liées à des prises de position pro-palestiniennes, et devait comparaître devant le tribunal pour des faits d’apologie du terrorisme.
Expert en criminologie, le Dr. Pierre Lefebvre, a déclaré : "Les confessions d’un fils dans une affaire aussi complexe soulèvent de nombreuses questions. Le profil de Salah Bouabdallah et le contexte de sa disparition ajoutent une dimension tragique à cette affaire." Le fils, qui n’avait jusqu’alors aucun antécédent judiciaire, a été placé en garde à vue tandis que les enquêteurs poursuivent leurs investigations pour confirmer ses déclarations.
Des experts en psychologie soulignent l'impact que peut avoir une telle situation sur la famille, et l'importance d'un soutien psychologique dans les moments de crise. "Il est crucial que les familles touchées par un drame aussi tragique reçoivent une aide appropriée pour comprendre et gérer leur souffrance," a ajouté la psychologue Sophie Martin.
Cette affaire reste sous haute surveillance médiatique et judiciaire, et des nouvelles informations devraient éclore dans les jours à venir.







